samedi 2 août 2014

Le torcol fourmillier

Le torcol fourmillier



C’est bec cache une langue rosâtre longue de plusieurs centimètres. Elle reste enroulée dans sa bouche lorsqu’il ne mange pas. Elle est collante et il l’enfonce dans le sol sablonneux pour y déniché les fourmis. Le torcol a un vol peu élevé, lent et onduleux comme tous les picidés. Si le torcol est menacé ou dérangé, il se contorsionne le le cou s’étire et se tord à l’extrême, crête hérissée donnant à l’oiseau un air étonné. Il s’agit d’un oiseau migrateur qui passe l’hiver en Afrique.


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